NON À...
Les images en disent plus long que les mots.

Voici ce qui nous révolte et que nous devons changer au plus vite.

Les francs-maçons sont-ils des délinquants ? voir plus bas

 

(c) photodisc Non...

à la pollution de la Terre par les usines et de vieilles technologies,
par un smog électrique, electromagnétique, pulsé....

 

Non...

au gaspillage des ressources naturelles. Il faut tout recycler. Les ressources naturelles ne doivent être moins chères que les matières recyclées.
(c) photodisc

 

(c) photodisc Non...

au gaspillage de l'eau et à la désertification des terres. L'eau est un éléments essentiel à l'existence de tous les êtres vivants.

 

Non...

au manque de responsabilité des hommes qui détruisent la nature et n'assument pas leurs erreurs. Le crime contre l'environnement est un crime contre l'humanité toute entière et doit être puni.
(c) photodisc

 

 

 

 

 

 Halte aux scandales d'une justice inique et corrompue.

 

François von Siebenthal

23, av. Dapples

CH 1006 LAUSANNE, Switzerland.

Tél : 021 6168888                                       Fax : 021 6168881

 

 

M. le JUGE D’INSTRUCTION                      

Monsieur le Juge Jean-Pierre CHATTON

Ch. de Couvaloup 6

1014 Lausanne

LSI

 

Lausanne, le vendredi 12 mars 2004

 

Dossier N° -  PE03.039484-JCH                Plainte pour menaces

 

 

Monsieur le Juge,

 

Je me réfère à votre avis de clôture de la plainte mentionnée en marge et au vu d’un nouvel élément, je dois vous informer que je ne peux accepter la clôture de l’instruction en l’état actuel de la procédure.

 

En effet, j’ai reçu une demande du gouvernement philippin concernant l’analyse précise du cocktail posé sur le seuil du Consulat. Or, cette analyse ne figure pas au dossier que je suis allé consulter hier. De plus, un spécialiste a attiré notre attention sur l’heure de la tentative et sur le fait qu’étant posé sur un seuil et devant une grande porte en bois, l’immeuble aurait pu prendre feu et même tuer des personnes.

 

De plus, vu que les menaces continuent et que j’en ai reçu près de cent par écrit ou par e-mail (elles sont à votre disposition si nécessaire), je vous prie de continuer l’enquête pour les autres raisons suivantes : 

 

J’ai constaté que M. Bernard Muhl ne disait pas la vérité dans son audition, notamment qu’il ne m’a pas demandé de numéros supplémentaires personnels. Ceci est faux et M Burdet et les journalistes présents peuvent en témoigner, notamment MM Othenin-Girard d’Edipresse et Wichser de Presse-Riviera-Chablais.

D’autant plus qu’il y eu fraudes électorales sous la probable supervision de M. Muhl, voir http://www.marcburdet.ch

www.familiaplus.com et http://www.swissfax.info/ fraude qui devrait être poursuivie d’office.

 

Il affirme aussi qu’il était le seul à avoir accès à ces informations personnelles, ce dont je doute. Qui couvre-t-il ?

 Mais qui sont les coupables ? J’ai appris de source sûre qu’au moins une société secrète, celle de la fraternité blanche universelle, la même qui a fait un procès à Lausanne au journaliste Raposo, me menaçait. Il est apparu dans ce procès qu’au moins une personne à haut niveau dans l’administration vaudoise en était. Je vous prie de tenir compte de cet élément. En effet, aucun citoyen ordinaire ne peut savoir, compte tenu du caractère occulte notamment de la franc-maçonnerie, quel magistrat, journaliste ou fonctionnaire en fait ou non partie. Mais comme, par ailleurs - tous les experts s’accordent sur ce point - environ 60% de la magistrature fait partie de la franc-maçonnerie, il devient alors hautement probable que face à n’importe quelle procédure, tout citoyen plaignant ou accusé se trouve face à au moins un magistrat franc-maçon : si la partie adverse est effectivement membre de la franc-maçonnerie, alors, adieu l’impartialité du tribunal, au sens du droit européen et bienvenue au délit d’entrave à l’exécution de la justice, au sens du droit. Les buts secrets et systématiques, au niveau mondial, sont de favoriser le chaos par la violence pour établir une dictature sournoise collectiviste. Leurs vrais dirigeants occultes par dynamique de groupe sont souvent pédo-criminels, les « vénérables fiers d’être nommés » n’étant pas les vrais chefs. Voir aussi les enquêtes bloquées en Belgique dans l’affaire Dutroux.

De plus, il prétend que j’étais 30 secondes en retard alors que j’étais 38 heures en avance selon la loi en vigueur, ce qui est médisant et diffamatoire et nuit à la démocratie.

Vu que les nombreux articles de presse écrits (ils sont à votre disposition si nécessaire) et les émissions vomitives « le fonds de la Corbeille » de la TSR (dont on peut avoir des copies à la TSR, les deux week-end après ma candidature, le plus virulent et dégueulasse étant M. Lova Golovtchiner, de Lausanne) ont contribué au climat de haine à mon égard et plus grave contre ma famille et mes enfants et ont fomenté un climat propice à la violence et aux menaces, je vous prie de tenir compte de ces éléments. Ma plainte porte donc aussi contre ces éléments diffamatoires, calomnies, médisances, amalgames de privés et de journalistes.

 

Dans ce cadre, je me réserve d’apporter des éléments complémentaires et je me porte, ainsi que les membres de ma famille, aussi partie civile. Mon épouse est très affectée de ce climat de haine coordonné basé sur des mensonges et des exagérations et mes enfants aussi.

 

En conclusion, je suis en droit d’attendre du Juge Instructeur chargé de cette enquête, une investigation approfondie qui définira la réalité des faits quant au climat de haine violente à mon égard et plus grave contre ma famille.

 

Je vous laisse le soin de donner la suite qu’il convient à cette demande et vous prie de croire, Monsieur le Juge, en mes sentiments les meilleurs.

 

 

François de Siebenthal
Consul Général des Philippines a.h.
Secrétaire général du Corps Consulaire.
Le défi vaudois et familiaplus.com

 

François de Siebenthal

23, av. Ed.-Dapples

CH - 1006 Lausanne

Tél. +41 21 - 616 88 88

Fax +41 21 - 616 88 81

 

Quelques faits résumés sur certaines collusions de la justice vaudoise et leurs commentaires

 

Les erreurs informatiques provoquées volontairement par notamment une personne qui fait office d'expert au tribunaux vaudois coûtent des millions aux contribuables vaudois.

 

La "justice" vaudoise condamne les innocents et laisse courir les coupables

 

1.    Un grave conflit de travail a éclaté en mai 1990, du fait des agissements peu éthiques de M. P.-M. Girard, directeur et propriétaire de la société ADP Organisation, juste avant une période de service militaire, qui a amené à un licenciement abusif et même à un refus de reconnaître le contrat de travail.

2.    Des erreurs étaient introduites volontairement dans les programmes informatiques pour faire payer des interventions voulues et planifiés par un partenaire de mèche.

3.    Le Tribunal des Prud’hommes a été invoqué le 12 juillet 1990 ( 3 ans avant qu’ ADP n’ouvre action au TC, Pache ose affirmer le contraire par écrit) et a décliné sa compétence le 18 avril 1996, soit six années plus tard.(Juge Zahnd)

4.    Sur un jugement incident me condamnant à payer une somme de plus de Fr. 2700, caché par mon avocat et suite à un étrange concours de circonstance, deux poursuites lancées simultanément, l’une à mon insu, jugée le même jour à 9h00 et à 11h00, celle dont je savais l’existence, en ma faveur, l’autre me condamnant, sur le même objet, dans une seconde phase, à la faillite au début 2000, sans jugement sur le fond. Il y a même eu une audience par exemple le 17 juillet 1991 où je n’ai pas été convoqué du tout et celle-ci a été annulée plus tard.

5.    Dans le cadre du jugement au fond, la partie adverse a requis les services d’un expert soi-disant « neutre » que je n’ai jamais accepté. Celui-ci m’a déclaré verbalement que le contrat de travail à 100% existait, puis dans son « expertise », revenait sur sa déclaration.
Il est de plus ou a été conseiller communal du même parti et domicilié dans la même commune que l’avocat de la partie adverse (qui nie par écrit l’avoir jamais rencontré) et que la société ADP est aussi domiciliée à Lutry, où habitent les parents de P.M. Girard et où celui-ci a passé toute sa jeunesse. Ces Messieurs osent prétendre qu’ils ne se sont jamais vus. Je ne savais pas Lutry et ses partis politiques si vastes, avec 8100 habitants et un conseiller communal, « expert neutre » proposé par un avocat qui fait aussi de la politique dans le même parti et dans la même commune ! Voici des « pièces », mises par écrit dans la procédure, auxquelles on devrait croire ? Et toute la procédure est de la même eau et du même tonneau. Sans oublier qu’il y a un juriste Dominique Creux, juriste aussi domicilié à Lutry, Serait-ce le Juge instructeur, qui est en même temps le juge de la cour qui a jugé de ma faillite et qui a refusé la réforme et la nomination d’un vrai expert neutre? Les autres personnes impliquées habitent-elles aussi dans le même quartier (La Conversion) de cette commune ?

6.    Les bureaux ADP à Belmont, 18 route de la Louche, sont une cave humide, insalubre, froide, traitée chimiquement contre les termites, mal éclairée par de petites fenêtres et occupée par une forte densité d’ordinateurs et de machines électriques avec un fort dégagement de smog électronique.

7.    L’avocat de la partie adverse, Me Daniel Pache, utilise dans le cadre de sa procédure, de pures diffamations et des calomnies.

8.    De plus, dans le cadre de cette procédure et de celle du divorce de M. P.-M. Girard, des arguments anti-catholiques sont utilisés avec des accents de guerre de religion d’un autre âge (carnets de prières intimes au dossier de Mme Girard, catholique elle aussi, jugée comme par hasard par le même "Juge" Creux).

9.    Sans compter le fait que le "Juge" , M. Dominique Creux, du parti socialiste, est visiblement tourné contre ma personne par la partie adverse en invoquant notamment le livre « Europe, l’hiver démographique » et mes activités en faveur de la famille. Il a par ailleurs fait l’objet d’une enquête par mon frère Hugues, alors substitut du procureur.

10.Ce qui m’a amené à essayer de récuser le juge en question, surtout du fait qu’il n’a pas voulu exercer ses pouvoirs en ma faveur, notamment en faisant visiter les locaux insalubres.

11.Etrangement, une pièce essentielle du dossier a disparu chez Me Piguet, le livre « Une corde au cou » décrivant les agissements commerciaux de M. Girard, qui ont notamment mené une PME à la faillite, à une tentative de suicide de son directeur, puis à sa mort.

12.Ce genre d’agissements m’a été confirmé pendant mon travail chez ADP, ou notamment chez des avocats, la politique était de créer des problèmes logiciels pour venir facturer les interventions « salvatrices ».

13.La Juge du Tribunal Fédéral qui a jugé de la faillite, est une amie du Juge Creux, d’après Me Piguet. Est-elle aussi de Lutry et environ ?

14.Me Piguet m’avait conseillé d’obtenir des déclarations écrites de clients ADP certifiant que je collaborais avec cette société ; il m’a ensuite demandé une attestation stipulant que cette idée ne venait pas de lui. Par amitié, j’ai fait ce papier que je regrette maintenant.

15. M. Vodoz, de l’office des faillites, me dit qu’il y a désaccord sans préciser entre les offices, à voir.

Analyse

1.                  Cette affaire traîne depuis plus de 13 ans, du fait de l’avocat de la partie adverse qui espace les procédures, pousse à la faillite de manière ridicule, abuse de son droit, calomnie, diffame et j’en passe.

2.                  Il y a plusieurs détails troublants :

2.1.            Avocat et « expert » et Girard (et le Juge ?) sont des amis et voisins.

2.2.            Lenteurs des procédures.

2.3.            Pièces non accessibles.

2.4.            Pièce perdue.

2.5.            Audience où je ne suis pas convoqué.

2.6.            Procédure de faillite choquante et exagérée.

2.7.            Persécution religieuse et politique.

2.8.            Refus de considérer des éléments importants.

2.9.            Refus d’une audience publique au TF qui m’a finalement condamné sans possibilité d’analyse dans le cadre d’un vrai appel.

 

Conclusions

Les protections sociales sont violées (AVS, 2ème pilier, médecine du travail), une affaire de droit du travail traîne plus de 13 ans alors que la Suisse a signé un accord international stipulant que ce genre d’affaire doit être liquidé rapidement, une faillite est prononcée suite à des erreurs de fait (deux poursuites le même jour sur le même objet, l’une jugée en ma faveur, l’autre contre et à mon insu), pièces dissimulées, non accessibles ou perdues, une bibliothèque entière pleine de documents pour une affaire de peu d’importance mais gonflée à dessein pour des motifs de cupidité sordide et de collusion.

Le défi vaudois et familiaplus.com

Chez François de Siebenthal

23, av. Dapples

CH 1006 LAUSANNE, Switzerland.

Tél : 021 6168888                                       Fax : 021 6168881

 

 

 

Secrétariat de l'OAV

M. le Bâtonnier.

8, rue du Grand-Chêne

Case postale 3466

CH-1002 Lausanne


tél. +41-21-311.77.39

fax +41-21-311.77.49

 

Lausanne, le 08/01/2004

 

Monsieur le Bâtonnier et cher Maître,

 

Ayant cherché à vous atteindre par téléphone sans succès, je vous remercie de votre lettre dont j’accuse la bonne réception

 

  1. J' avais demandé en son temps à Me Luc Recordon de corriger et d' envoyer au Bâtonnier un projet de plainte concernant l' avocat Daniel Pache et ses collusions avec l'expert Claudet, du même parti libéral et de la même commune.

 

  1. Vu que Me Recordon était en déplacement, pouvez-vous me dire si vous avez pu en discuter avec lui ?

 

  1. La situation devient urgente.

4.      Nous apprenons aussi qu’un juge cantonal vaudois donné ne s’occuperait pas plus que 2 ans de suite du même dossier. Nous vous prions de nous confirmer ou infirmer ce fait.

Les magistrats francs-maçons sont-ils des délinquants ?

Le Conseil Supérieur de la Magistrature Italien a interdit depuis 93 aux magistrats d’appartenir à une loge maçonnique. La justice anglaise, quant à elle, oblige ses magistrats francs-maçons à le faire savoir de la façon la plus claire. En France, dans le même temps, juges et avocats francs-maçons continuent chaque jour à protéger leurs “frères”, qu’ils soient plaignants ou accusés.

Nombre de justiciables français ayant eu affaire avec la justice ces dernières décennies ont bien souvent été confrontés à la partialité parfois brutale de divers tribunaux - notamment les tribunaux de commerce - jusqu’au jour où ils ont réalisé que leurs adversaires étant francs-maçons, ceux-ci avaient ainsi bénéficié de protections choquantes et  scandaleuses.

En effet, le serment maçonnique de solidarité fraternelle oblige fortement tous ceux qui le prête à protéger leurs “frères” et ce quelques soient les circonstances.

Les 40% de magistrats français indépendants de la franc-maçonnerie commencent à comprendre que c’est leur honneur et leur légitimité de magistrats qui sont désormais en cause. Certains d’entre eux attendent avec impatience que la Suisse s’aligne enfin sur les pratiques européennes et accepte de séparer formellement la justice et la franc-maçonnerie. La justice est, chaque jour, en complète contradiction avec le droit européen, notamment l’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Cet article 6 de la Convention accorde à tout citoyen d’un pays signataire le droit à “un procès équitable rendu par un tribunal impartial”.Or, dans l’état actuel du fonctionnement de la justice et compte tenu de l’utilisation abusive de ses institutions par les réseaux maçonniques, dès l’instant où un justiciable franc-maçon se présente devant un tribunal, il devient strictement impossible de considérer le tribunal comme impartial. En effet, aucun citoyen ordinaire ne peut savoir, compte tenu du caractère occulte de la franc-maçonnerie, quel magistrat en fait ou non partie. Mais comme, par ailleurs - tous les experts s’accordent sur ce point - environ 60% de la magistrature fait partie de la franc-maçonnerie, il devient alors hautement probable que face à n’importe quel tribunal, tout citoyen plaignant ou accusé se trouve face à au moins un magistrat franc-maçon : si la partie adverse est effectivement membre de la franc-maçonnerie, alors, adieu l’impartialité du tribunal, au sens du droit européen et bienvenue au délit d’entrave à l’exécution de la justice.

3. Par la présente, j´incite toute personne concernée par de tels actes à élever la voix dans les tribunaux ( sans violences ni menaces ) contre les magistrats qui protègeraient de tels actes en refusant de les considérer comme des faux car ils se rendraient ainsi complices de tels actes.

 

Avec nos plus vifs remerciements, nos meilleures salutations et nos voeux pour l’année 2004.


François de Siebenthal
Consul Général des Philippines a.h.
Secrétaire général du Corps Consulaire.
Économiste HEC et lic. ès sc. iur.

 

Plus d'info sur www.de-siebenthal.com www.swissfax.info et www.appel-au-peuple.org  si censurés, vois la page liens,links de chacun de ces sites.