Qui sommes-nous ?

Le monde devient de moins en moins viable pour les familles et leurs enfants. Nous voulons dire non aux évolutions actuelles et  encourager le retour à des valeurs  respectueuses des plus faibles et de l' environnement. Les familles sont les premières et meilleures éducatrices. Investir urgemment dans les familles pour un futur meilleur est une preuve d'intelligence politique.
Une civilisation se mesure au respect des plus faibles

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(c) photodisc

Notre programme politique pour les familles.
1. Pour une Justice rapide et efficace, nommée par le Peuple. Stop aux Collusions, Corruptions et Copinages. Reconnaître publiquement que le mariage a une dimension sociale qui lui confère un statut institutionnel fondamentalement différent d’un autre contrat, quelque qu’il soit par des mesures rapides : justice fiscale par rapport aux concubins, ass. maladie, primes des enfants, allocations familiales.
2. Conforter encore les réseaux d’écoute, d’appui et d’accompagnement des parents sous la seule responsabilité des mouvements familiaux. INTRODUIRE LES BONS EDUCATIFS, POUR UNE EDUCATION COMPETITIVE AU CHOIX DES PARENTS
3. Concevoir et mettre en place des instances de propositions impliquant directement les mouvements familiaux, les acteurs de l’Ecole ainsi que les représentants élus des grands médias ( TV, radios, journaux…).
4. Infléchir et compléter les mesures législatives adoptées, de façon à annuler les conséquences à caractère anti-familles de lois ou de projets de lois ( Les familles d’abord, ass. Maternité, salaire familial, all. éducatives)
5. Confirmer, sans ambiguïté, l’interdiction du clonage reproductif comme thérapeutique; Interdire toute recherche sur l’embryon par un moratoire sur le devenir des embryons dits ‘surnuméraires’.
6. Doter en retour la recherche fondamentale des moyens nécessaires pour l’avancement de ses investigations sur les cellules souches adultes ;
7. Donner une véritable ampleur à un programme national d’équipements dans tous les cantons concernant les unités de soins palliatifs, de maisons d’accueil des personnes handicapées et d’établissements spécialisés pour certains handicaps (autisme,..)
8. Prendre les mesures législatives cantonales et fédérales pour garantir les ressources des Familles. Mise à niveau des allocations et salaires.
9. Généraliser le quotient familial vaudois. Augmenter les prestations familiales pour le dernier enfant à charge pour les familles de deux enfants et plus. Des allocations éducatives pour parents à la maison, c’est un investissement pour la paix sociale par une meilleure éducation.
10. Voter pour les candidats pro-vie, en sachant que les partis de la gauche ont exigés de leurs élus de voter à 100 % pour la solution finale des délais jusqu’à 9 mois par discipline de parti. Ils ont reniés leurs valeurs de prolétaires, mot qui vient de prolifique ( qui a beaucoup d’enfants ).


 
Recommandations
1. Considérer la défense de la famille et de la vie comme une action primordiale pour les hommes politiques et les législateurs, afin de préserver les valeurs fondamentales dans leurs pays respectifs dans les forums internationaux, en réponse aux fausses alternatives.
2. Influencer les gouvernements afin que leurs délégations auprès des organismes et des assemblées internationales soient réellement représentatives des sentiments de chaque pays en faveur de la famille et de la vie, en tenant compte de la haute conception et de l’estime qu’ils manifestent.
3. Promouvoir la connaissance et la diffusion de l’Encyclique Evangelium Vitae, en tant que défense prophétique des personnes pauvres, innocentes et laissées pour compte, comme catégorie qui requiert une attention particulière. Cette Encyclique défend les fondements de la société contre les excès de l’individualisme et de la culture de la mort, qui constituent une menace croissante contre les peuples pauvres, dont la souveraineté est foulée aux pieds par une sorte d’invasion idéologique qui prive la famille et la vie de ses droits.

4. S’opposer avec fermeté à toute forme de légalisation de l’avortement et chercher à changer progressivement les lois permissives là ou elles existent. Dans ce domaine législatif il est important de lutter sans cesse et de ne pas se résigner, en s’engageant dans cette cause noble et décisive, car les lois peuvent toujours être améliorées.

5. Promouvoir des lois qui reconnaissent l'embryon humain comme un sujet, sur le même plan que tout autre individu déjà né et refuser celles qui le considèrent comme un objet que l'on peut manipuler.

6. Faire en sorte que les politiques d'éducation sexuelle soient fondées sur les valeurs do la famille et da la vie dans le respect et selon un usage adapté de la liberté, qui évite la « banalisation » du sexe, et qui respecte le droit des parents à choisir l’éducation à donner à leurs enfants.

7. Veiller afin que dans les moyens do communication sociale la valeur de la vie et de la famille soit respectée et promue comme fondement même de la démocratie.

8. Intervenir à travers des lois dans le domaine de la fécondation artificielle pour s'opposer au permissivisme actuel, en choisissant comme critère d'orientation le bien des enfants et en leur garantissant le droit à la vie, à la famille et à une identité. Il est nécessaire de légiférer en défense de l'embryon humain, en reconnaissant les droits qui lui sont dus en tant que sujet, personne humaine.

9. Promouvoir la lutte contre la douleur grâce à des soins palliatifs et favoriser la création de structures publiques et privées visant à assister, du point de vue humain, spirituel et physique, les personnes handicapées et les malades en phase terminale.

10. Soutenir l'organisation des services sanitaires publics et privés, de façon à ce que soit garantie à tous la possibilité d'accéder à la protection de la vie et de la santé.

11. Veiller sur la formation du personnel sanitaire, médical et paramédical, afin qu'il prête une attention respectueuse aux droits des familles, des enfants nés et à naître, et qu'il offre une assistance attentive aux malades graves et en phase terminale.

12. Veiller non seulement à l'élaboration des lois, mais également à leur application pratique dans les règlements, en faisant en sorte que le personnel administratif qui les applique soit conscient et formé aux principes et aux critères éthiques.

13. Contrôler le travail des administrations nationales, départementales ou locales, afin qu'elles respectent les lois, les normes et les programmes établis en faveur de la famille et de la vie.

14. En gardant à l'esprit que « la politique familiale doit être la base et le moteur de toute politique sociale » (Evangelium vitae, n. 90), faire en sorte que les parlements nationaux ratifient des lois qui créent une authentique politique pro-famille, avec le concours des parents et des institutions familiales, tout au moins sur les points suivants:

--même chance de trouver du travail et égalité de salaire entre homme et femme;

--périodes communes de vacances pour les conjoints de façon que soit conservée et renforcée l'unité de la famille comme communauté de vie;

--possibilité pour les conjoints de travailler dans des zones proches;

--rechercher des moyens pour que le travail de la femme en dehors du foyer domestique, auquel elle est souvent contrainte, ne s'effectue pas au détriment de sa mission dans la famille, en créant des structures d'aide et de soutien;

--garantir à la femme un temps libre adapté au cours de la grossesse et, si nécessaire, également à l'homme;

--éviter de discriminer la femme en raison d'une grossesse possible ou en raison de l'attention qu'elle doit prêter aux enfants en bas âge;

--donner la possibilité aux nouvelles familles d'acheter ou de louer une maison.

15. Favoriser l'organisation d'un réseau continental de législateurs et d'hommes politiques d'Amérique en défense de la vie et de la famille afin de créer un lieu permanent et souple de communication, consultation et coordination des initiatives communes.

16. Favoriser la création d'une commission de législateurs pro vita, qui traduise en pratique les contenus et les engagements de cette III rencontre de législateurs et d'hommes politiques et qui inaugure un lieu permanent de réflexion et d'action législative en faveur de la vie humaine.

17. Promouvoir l'organisation de centres de recherche et de soutien pour les activités pro vita et pro famille.

18. Organiser des débats et des rencontres semblables à la présente rencontre dans tous les pays.

Nous sommes conscients de la grande responsabilité qui pèse sur nos épaules en tant qu'hommes politiques et législateurs de nos pays et nous reconnaissons les grands défis que nous devons affronter pour la défense de la famille et de la vie.

Nous sommes cependant également conscients de ne pas manquer de ressources, d'assistance et de force. Le Seigneur de la Famille et de la Vie est avec nous, L'appel du Christ nous pousse, en tant que fils et filles de l'Eglise, à continuer à exercer notre vocation d'hommes politiques et de législateurs à travers un dialogue ouvert et engagé qui place le bien de la famille au centre de nos préoccupations et de nos tâches. Nous prêtons attention aux inspirations profondes de nos peuples et suivons fidèlement les enseignements et les orientations du Magistère de l'Eglise. En agissant ainsi nous répondrons à l'exhortation, que le Saint Père a eu la bonté de nous adresser, à renouveler nos "efforts pour promouvoir, en particulier dans le cadre politique et législatif, les valeurs fondamentales de la famille et de la vie, en favorisant inlassablement sa dignité transcendante".

Droit de Cité

Lettre à Monsieur François de Siebenthal

Contre de documentation civique CP 335 1001 Lausanne

Monsieur,

C'est avec plaisir que j'ai pu entendre votre intervention ce

dimanche 2 sept. à l'émission ''Droit de Cité" et ce d'autant plus que

l'institutrice-jardinière -d'enfants fribourgeoise qui estimait que les petits

enfants ne sont pas assez maternés.... c'était moi.

..

Je pense que contrairement aux discours qui nous sont servis,

tout est fait pour inciter la mère à travailler à l'extérieur. Ce n'est pas

favoriser la famille que de créer des crèches.

Celles-ci doivent être un dépannage, et non un lieu de vie

permanent pour des bébés. A chaque âge correspond une période

favorable à telle ou telle acquisition. Et jusqu'à 3 ans un enfant n'est pas

fait pour être mis en collectivité, tous les jours tôt le matin jusqu'à tard le

soir. Il a besoin d'être materné.

On entend dire que plus un enfant est mis tôt en collectivité

plus vite il sera dégourdi. C'est exact, mais dégourdi ne veut pas dire

heureux, mais plutôt agressif. Une parenthèse: Il est quand même assez

curieux d'entendre ce genre de discours quant au bienfait de la

collectivité pour le jeune enfant, alors qu'à l'encontre on rechigne à

apprendre à lire tôt. Là aussi on est à côté de la plaque car j'estime que ne

pas proposer à un enfant l'apprentissage de la lecture avant 7 ans c'est

''louper" la période favorable. Je ne crois pas que ce soit pousser un

enfant que de commencer à le familiariser avec les mots, les lettres, entre

5 et 6 ans. Lui proposer, ce n'est pas l'obliger. Mon expérience

personnelle - professionnelle et familiale - me prouve que si

l'apprentissage est fait trop tard, l'enfant aura plus de difficultés à la

lecture et de ce fait n'aura jamais de plaisir à lire. Je ne veux pas avoir

l'air de chercher le mal partout, mais l'on peut se demander dans quelle

mesure il n'y a pas une certaine volonté à fabriquer des incultes .

Ceci dit, la violence des jeunes , de plus en plus jeunes , ne

serait-elle pas une sorte de vengeance inconsciente contre le fait d'avoir

été ''mis au vestiaire" trop jeune. Même si l'enfant est bien gardé par des

tierces personnes compétentes et aimantes, ces personnes ne remplacent

pas la maman, il me semble que l'argent dépensé par l'État, les

communes en infrastructures pour la petite enfance ( j'ai cette

responsabilité au Conseil communal ) devrait être versé aux mères qui

désirent élever elles-mêmes leurs enfants mais qui n'ont pas la possibilité

de le faire pour cause financière. Le travail à temps partiel pour les

femmes serait l'idéal...Mais la vérité c'est que malgré les discours qui

noient le poisson, on ne veut pas - pour des raisons politiques - laisser

aux familles la charge de l'éducation de leurs enfants car ils

échapperaient ainsi à l'éducation donnée par des éducateurs formés dans

le moule de l'idéologie dominante.

Mais si à mon avis la '' mise au vestiaire" est la première cause

de la violence des jeunes, d'autres facteurs s'y ajoutent qui amplifient le

phénomène. Je veux parler du laxisme des adultes, des parents certes,

mais surtout des enseignants qui ont appliqué à la lettre le slogan de mai

68, ''il est interdit d'interdire". Nous le payons aujourd'hui très cher. Les

enseignants ne sont plus respectés parce qu'ils n'inspirent plus le respect.

Ils ont voulu être "copains" avec leurs élèves ... ils sont traités comme

des copains que l'on peut apostropher dans un vocabulaire très peu châtié

. On n'a que la monnaie de notre pièce.

Un troisième facteur entre en cause : la violence à la télé dont

personne me semble-t-il n'a parlé sur le plateau. Il y a des enfants, des

bébés qui sont placés devant la télé, pendant que maman est occupée,

prépare le repas...On croit, ou on fait semblant de croire parce que cela

nous arrange, que les dessins animés sont inoffensifs, Mais dans son

baby-relax l'enfant de quelques mois à qui il ne nous viendrait même pas

à l'idée de raconter une historiette tant il est incapable de la suivre, ne

comprend rien à l'histoire qui se déroule sur l'écran, mais il en retient des

images qui s'incrustent dans sa jeune mémoire; du fait de l'animation

même de l'image, Il ne fait pas la différence entre la réalité et ce qui se

passe sur l'écran.. Même dans les dessins animés les plus naïfs, il est rare

de ne pas y voir des conflits, de ne pas y entendre des cris.

Un autre facteur vient s'ajouter à tous ceux-là, c'est la présence

de nombreux enfants étrangers en provenance de pays où règne la

violence. Certains d'entre eux sont nés avec la guerre. Ils sont donc

insécurisés et ont été élevés, éduqués dans un esprit défensif si ce n'est

agressif, ajoutez à cela une inculture, voire une analphabétisation qui

n'arrange rien. Là, le rôle de l'école est primordial. Mais ce n'est pas le

laxisme cité plus haut qui va aider ces jeunes étrangers à respecter les

autres, les éducateurs , l'ensemble de la société et le pays même qui les

accueille. Pour être respecté, il faut se rendre respectable. Cela est vrai

pour les adultes qui ont la charge de l'éducation des enfants, mais cela est

vrai aussi au niveau des autorités qui nous gouvernent et qui doivent

faire respecter nos lois par tous, y compris par ceux à qui nous donnons

l'hospitalité.

ilà ce que j'aurais aimé résumer si la TSR m'avait rappelée.

Mais je crois que tous ces facteurs, à part le problème TV, ont été

abordés sur le plateau et des choses très importantes ont été dites. J'ai

retenu entre autre ce qui a été dit par la jeune mère de famille assise à

votre côté droit , qui allait un peu dans le sens de ma réflexion.

Je vous remercie de m'avoir lue et vous prie d'agréer,

Monsieur, mes salutations les meilleures.

Marie-France Oberson, 1678 Sïviriez

 

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